samedi 11 décembre 2010

Tourisme : La Vision 2020 en marche


La Vision 2020, présentée le 30 novembre dernier à Marrakech devant le Roi Mohammed VI, se fixe comme objectif de doubler la taille du secteur touristique, hissant ainsi le Maroc parmi les 20 premières destinations touristiques mondiales.
Selon un communiqué du Département du Tourisme, huit nouvelles destinations touristiques vont naître dans le cadre de la Vision 2020, 200.000 nouveaux lits touristiques vont être créés à travers le Royaume et les arrivées de touristes étrangers vont être doublées.

Le pays compte multiplier par trois le nombre de voyageurs nationaux alors que les recettes touristiques vont être portées à 140 milliards de dirhams (MMDH) en 2020, soit une somme cumulée sur la décennie proche de 1 000 milliards de dirhams.
La Vision 2020, présentée devant le Souverain par Yassir Zenagui, ministre du Tourisme et de l'Artisanat, est la stratégie de la régionalisation touristique, de la qualité et du développement durable, souligne le communiqué.

Elle a été conçue sous l'impulsion de SM le Roi pour mettre en valeur chacune des régions du Maroc, et pour mettre en place un tourisme respectueux de l'environnement.
Le développement durable est en effet un des grands axes de la Vision 2020, précise le Département du Tourisme, ajoutant que le tourisme marocain prendra en compte la préservation des ressources naturelles, le maintien de l'authenticité socioculturelle des régions et le développement et bien être des populations locales.

Des "éco-territoires" vont émerger et seront de véritables vitrines du Maroc en matière de développement durable, souligne le communiqué.
La vision 2020 va jouer un rôle important dans le processus de régionalisation avancée dans lequel le Royaume est engagé, en adoptant une démarche novatrice et en s'appuyant sur 8 territoires.
Ces territoires présentent une cohérence touristique, une attractivité et une masse critique nécessaires pour un positionnement international. Ainsi, chaque territoire, doté d'un positionnement et d'une ambition spécifiques, fera l'objet dans les prochains mois de l'élaboration d'une feuille de route précise.

Tout ceci en étroite concertation avec l'ensemble des acteurs locaux ( élus, professionnels, société civile et acteurs publics), selon le Département du Tourisme qui précise qu'un effort particulier sera fait pour développer une offre d'animations culturelles et de loisirs de rang international, à même de renforcer l'attractivité de nos destinations touristiques.

Six grands projets structurants, impulsés et soutenus par l'Etat, les régions et le secteur privé, seront mis en place : le programme Azur 2020 (en continuité avec le plan Azur), le programme Patrimoine et Héritage, qui vise à faire rayonner l'identité culturelle du Maroc et le programme Eco&Green, qui a pour objectif de valoriser des espaces naturels préservés d'exception.

Il s'agit aussi du programme Animation et Loisirs (enrichir l'offre touristique hô telière et la rendre plus compétitive), le programme Niches à forte Valeur Ajoutée (positionner le Maroc comme destination de rang international sur le Bien être) et le programme Biladi (une des grandes priorités de la Vision 2020 avec la réalisation des 7 stations initialement prévues dans les régions les plus prisées par nos concitoyens).

Haute Autorité du Tourisme
Un des grands facteurs clé de réussite de la vision 2020, au regard des différents enjeux qu'elle devra relever (transversalité du secteur-régionalisation-durabilité), dépend de la capacité du tourisme à mettre en place une nouvelle gouvernance du secteur, note le communiqué.
Une Haute Autorité du Tourisme va être créée : c'est une instance publique-privée associant les régions, qui aura pour mission de garantir la cohérence des stratégies nationale et régionales, de coordonner, suivre, et évaluer leurs mises en œuvre.

Pour matérialiser la démarche d'aménagement intégrée des territoires, des Agences de Développement Touristiques seront créées parallèlement. Elles auront pour principales missions de suivre l'exécution des feuilles de route régionales, de développer l'attractivité des destinations et de piloter les projets stratégiques pour garantir l'efficacité de leur exécution.

Ces Agences deviendront l'interlocuteur unique sur toutes les questions liées au tourisme, et seront de véritables plateformes de concertation. Elles bénéficieront de tout l'appui, expertise et compétences des instances nationales en charge du tourisme.
Cette stratégie ambitieuse devra orienter les flux d'investissements vers les nouvelles destinations tout en développant de nouveaux produits sophistiqués.

Elle nécessitera une forte mobilisation de ressources financières nationales et internationales.
La Première mesure phare est la création d'un Fonds Marocain pour le Développement Touristique (FMDT), qui concrétise d'une part l'engagement volontariste de l'Etat auprès du secteur dans son ensemble pour stimuler une forte dynamique d'investissement à même d'accompagner la réalisation des grands chantiers de la Vision 2020, et d'autre part met en place un partenariat durable avec des Fonds Souverains de pays amis disposés à soutenir ce programme d'investissement.

Ce Fonds, financé par l'Etat et le Fonds Hassan II pour le développement économique et social pour une enveloppe de 15 MMDH, aura pour objectif une capitalisation de près de 100 MMDH, avec les fonds de pays amis.
La deuxième mesure phare, des primes seront mises en place pour soutenir l'investissement et l'orienter vers les zones moins développées ou émergentes.

Enfin, la troisième mesure phare marque l'engagement du secteur bancaire et porte sur la mobilisation d'une enveloppe de 24 MMDH de financement bancaire pour les projets considérés comme stratégiques dans le cadre de la Vision 2020, notamment les projets Azur, et répondant à des conditions d'accès pré définies dans un cahier des charges convenu.
MAP
Source: maghress.com

samedi 23 octobre 2010

Marrakech La Belle Ville Rouge !


Marrakech est une ville avec des milliers de visages, vif, frénétique et incroyablement belle. Le Maroc entier a beaucoup à offrir aux touristes : le désert ou les montagnes avec le célèbre Atlas, sans oublier la vieille ville Médina. Rien de mieux que savourer les traditions, épanouir tous vos sens. Épices, céramiques, bijoux, tapis, ... le cœur du Maroc est ici. La sélection des produits est un plaisir sans fin et ne vous inquiétez pas, le marchandage est une vieille tradition !

QUOI VISITER

Le Jardin Majorelle, est un ardin botanique superbement restauré par Yves Saint Laurent et Pierre Bergé. Il a été conçu par les expatriés artiste français Jacques Majorelle en 1924, pendant la période coloniale quand le Maroc était un protectorat de la France. La meilleure heure pour les photos est la fin de matinée. Dans ce jardin, visitez aussi le musée d'art islamique de Marrakech qui propose des textiles d'Afrique du Nord de la collection personnelle de Saint-Laurent ainsi que des céramiques, des bijoux et des peintures de Majorelle.

Les Jardins de la Menara, situés aux pieds de l'Atlas. Ils ont été construits au 12ème siècle (c. 1130) par le souverain almohade Abd al-Mu'min. La Menara est le nom dérivé du pavillon avec son toit en petite pyramide verte (Menzeh). Le pavillon a été construit durant la dynastie des Saadi 16ème siècle et rénové en 1869 par le sultan du Maroc Abderrahmane, qui sert d'abri en été. Meilleure heure pour les photos est en fin d'après-midi avec le coucher de soleil. La promenade est romantique parfaite pour les amoureux...

La Place Jemaa El Fnaa, classée patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco. Il faut prendre le temps de s'y promener à différentes heures du jour et du soir. D'une heure à l'autre, la physionomie, l'embience, et les étales de la Place changent et son atmosphère aussi... C'est le coeur de la ville, entoruée par les souks, les hotels, les jardins, ... On peut y manger pour pas cher d'excellentes brochettes...

Entre la vieille ville (Médina) et le centre de Marrakech près de Kutubiya a été réalisé un Cyberpark, parc pour l'éducation, en particulier des jeunes, aux technologies informatiques et au développement durable.

Le Musée de Marrakech, la Medersa (Ecole coranique), les Tombeaux Saadiens, ne sont à manquer sous aucun prétexte...

Sans oublier les souks des artisans des différentes corporations, les galeries d'art, les marchands d'épices, les herboristeries (où l'on vous offre un thé à la menthe), ... et pourquoi ne pas terminer la journée par un massage relaxant aux huiles essentielles ?

OU LOGER

La plupart des auberges de jeunesse dans Marrakech sont des Riads chaleureux : c'est le nom traditionnel de maisons anciennes, richement décorées avec un jardin. Les riads, peuvent vraiment être décrites comme un oasis de calme dans un quartier animé, les rues chaotiques et exotiques de la ville et méritent son nom de Belle Ville Rouge.

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OU MANGER

Marrakech, la ville la plus active du Maroc, vous propose des club, pub, bar, loungebar, skybar, ou les banquets dans les souks.

Sachez que 1 € équivaut à 11,09 Dirham. Donc les restaurants meme les plus chics sont à portées du portefeuille.

*** RESTAURANTS ***

Le Jacaranda, ce restaurant construit en 1950 vient d'être récemment rénové, avec comme maître-mot : imagination et goût. Stratégiquement situé, il vous offre une vue sur le centre du Guéliz. Spécialiste de la gastronomie française, vous pourrez également déguster de la cuisine marocaine et internationale préparée par le chef qui n'est autre que le propriétaire ! Une ambiance musicale le week-end, viendra parfaire votre moment détente. Il vous sera également possible les expositions permanentes de tableaux modernes. Situation : Gueliz Budget : De 150 à 250 Dhs

Le Queen Atlantic, l'unique Restaurant Bateau à Marrakech, vous embarque pour une croisière inoubliable, à travers un décor de rêve, une cuisine savoureuse et raffinée, le tout dans une ambiance magique et trendy pour des représentations en Live et des soirées embrasées : 80's remixés, Jazz, Blues, Soul Latino mais aussi de nombreux artistes orientaux... Le Queen Atlantic vous convie a prendre le large, vers de nouveaux horizons. Évasion, dégustation, magie et détente sont les maîtres mots du Queen Atlantic. Situation : Gueliz Budget : De 80 à 150 Dhs

Le Tanjia, un véritable palais, une brasserie orientale située entre le palais Bahia et le palais Badii, avec une terrasse qui offre une vue imprenable sur la Koutoubia. Sobre et élégant, cet endroit à part invite à profiter de d'une atmosphère sensible aux métissages orientaux, propre à l'art de vivre marocain, avec une touche occidentale. De plus, il n'est pas rare d'y prendre son repas aux côtés de Gad Elmaleh, Bob Sinclar, ... . Il vous sera proposé ici des plats marocains traditionnels et des plats internationaux. Testez le méchoui, c'est une de leur spécialité ! L'ambiance n'est pas en reste grâce au spectacle de danseuses orientales, tous les soirs accompagnées d'un groupe de musique traditionnelle ou du Dj résident. Situation : Mellah - Medina Sud Budget : De 150 à 250 Dhs

*** LOUNGE-BAR ***

Marrabook Café. En plein cœur de la médina de Marrakech, à moins de 200 m de la fameuse place Jemaa-el-Fna, Marra-Book Café se situe dans une petite ruelle à deux pas de la rue piétonne des Princes. Un concept de café restaurant librairie où vous pourrez retrouver, évidemment, tout un choix de livres sur le Maroc et l'Afrique, tout en dégustant des spécialités marocaines ou des plats fast-food. Situation : Place Jemaa El Fna Budget : - 80 Dhs

Coffee Marrakch'Chic. Pour la toute première fois à Marrakech, un restaurant lounge digne des plus belles ambiances de New-York. La décoration est sobre, épurée sur des tons blancs et du mobilier design, chic ! L'ouverture a eu lieu le 23 Juillet 2010, un endroit lounge, accueillant et intimiste pour boire un verre entre amis, dîner en couple, ou plus simplement prendre un café dans un lieu raffiné. La carte est riche et variée. Un lieu haut de gamme au coeur de Guéliz !

Le Jad Mahal... lieu exquis, idyllique où prendre un verre, un dîner ou y écouter de la musique, vous laissera une trace indélébile... La décoration tantôt marocaine tantôt hindi, aux couleurs et lumières chaudes, douces mélangées aux effluves enivrantes des mets préparés, vous invite à profiter de l'instant présent, qu'il soit dans l'intimité ou non. Une carte subtile alliant la magie de la gastronomie marocaine, thaï et occidentale vous est proposée par David Ducrocq, cet amoureux de la gastronomie qui a cuisiné avant pour des lieux prestigieux comme le train de 'L'Orient Express', le 'Le Beau Rivage'. Situation : Hivernage et Agdal Budget : + 400 Dhs

SORTIES & CLUBBING

Du Pacha Club, au café du coin, vous serez servi.

Le Skybar la piscine. La Piscine Marrakech du Palais Soltan Club Hôtel, le nouveau Skybar de la ville rouge. Ce site de 1200 m2 peut accueillir jusqu'à 1 000 personnes, il se situe à côté du Club Le Pacha. Il nous plonge dans une ambiance estivale, au décor unique sur un toit terrasse panoramique avec une vue sur l'Atlas…et nous rappelle la splendeur du Maroc . Ce Skybar Restaurant Club vous propose un set live non-stop à partir de 11H jusque tard dans la nuit où plusieurs DJ se succèdent pour créer une ambiance musicale alternant tous les styles…vous pouvez déguster des mets aux saveurs estivales grâce à la restauration de ce lieu. C'est l'endroit idéal pour une soirée en plein air ! Situation : Hivernage et Agdal Budget : De 150 à 250 Dhs

Cantobar ‹‹ J'irai au bout de mes rêves … ››, Ils étaient les premiers à avoir ouvert un Karaoké à Marrakech. Les voici de retour avec le Cantobar, cet élégant Restaurant-Bar qui vous accueille le midi, mais aussi le soir là où une scène vous est entièrement consacrée… Situé sur la rue Moulay el Hassan entre le Palais des congrès et la place de la Liberté, la devanture typée art déco invite à la découverte. L'espace intérieur se divise en deux salles de restaurant, un bar, une scène et un espace V.I.P. Dans une ambiance cossue et chaleureuse, la décoration à la forte dominante de rouge renforce le côté accueillant du lieu. Cuisine orientale et occidentale de qualité, présentation et service irréprochables, on peut venir y déguster une salade le midi et savourer le soir la fameuse Tangia. Mais le Cantobar c'est avant tout un endroit ou l'on chante ! La scène est entièrement conçue pour que vous puissiez exprimer vos talents d'artiste ou tout simplement venir écouter des groupes internationaux. À présent vous ne pourrez plus dire ‹‹ j'aurais voulu être un artiste…›› Situation : Gueliz Budget : De 150 à 250 Dhs

Le Pacha est un mélange harmonieux entre décor prodigieux, ambiance électrisante et Dj's de renommée mondiale. La boîte de nuit semble rafler toute la clientèle locale et attire aussi toute la clientèle étrangère. La grande superficie de la boîte en fait un endroit trés aéré où l'on écoute de la french touch pour la plupart du temps. Il faut réserver à l'avance pour pouvoir être bien installé. Du mardi au samedi soir, le ‘Chill Out' accueille les « Wildpoppy », un Live Band français, composé d'une chanteuse guitariste et de trois musiciens pop-rock. De 22 h jusqu'à 1h du mat' durant la semaine et jusqu'à 2h le week-end ! La nouvelle carte de tapas est à découvrir... Situation : Hivernage et Agdal Budget : De 150 à 250 Dhs
Barbara HostelsClub.com
Source : articlonet.fr

samedi 3 juillet 2010

Fès : de la tradition et des talents


La médina de Fès est un authentique voyage dans le temps où l’on peut découvrir les activités artisanales traditionnelles tout en séjournant dans un riad raffiné. Elle date du XIIème siècle et est enregistrée au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. C’est l’une des villes emblématiques de la civilisation arabo-musulmane. Dans le dédale des ruelles, découvrez les métiers nobles comme ceux de la sellerie, de la marqueterie et du brocard. Mais laissez-vous surtout surprendre par les activités plus ancestrales comme l’utilisation des fours traditionnels pour la cuisson du pain et gâteaux ou encore les bains de vapeur, les fameux hammams orientaux.

Pour votre hébergement, de nombreux riads finement décorés vous ouvrent leurs portes. Dans ces demeures abritées de la rumeur urbaine, c’est un style de vie subtil et sophistiqué que vous allez découvrir. Certains possèdent un hammam ou un spa, témoignant ainsi de la tradition thermale de la région. Grâce aux bains de vapeur et aux massages associés, retrouvez tout votre tonus et votre forme, dans des ambiances inchangées depuis des siècles. Mais pour le voyageur en quête d’échanges spontanés avec la population, rien ne vaut une déambulation au gré des ruelles. Il y aura toujours un habitant ou une famille voulant lier connaissance autour d’un verre de thé à la menthe. Car le secret de Fès, c’est surtout une tradition historique de l’accueil et de l’hospitalité…

Source: visitmorocco.com

samedi 17 avril 2010

Festival Mawazine 2010: Présence en force des artistes marocains


Programme de la 9ème Edition du Festival Mawazine – Rythmes du Monde

La 9è édition du festival Mawazine, Rythmes du monde, qui se tiendra du 21 au 29 mai 2010 à Rabat, fera la part belle aux artistes marocains, avec la programmation de pas moins de 40 artistes et groupes marocains, soit près de 40% des spectacles prévus, annonce l'association Maroc-Cultures, organisatrice de cette manifestation annuelle.

Expliquant que ce plateau vient confirmer sa "vocation consistant à encourager la création artistique et à valoriser la musique marocaine", l'association annonce que des concerts de Abdelhadi Belkhayat, Jil Jilala, Bachir Abdou, Fatima Zahra Lahlou, Mohamed El Ghaoui, Aicha Tachinwit, Hamid Kassri, Tahour, Senhaji, Nouri, Said Mouskir et Abderrahim Souiri viendront animer les scènes rbaties.

L'expression des musiques urbaines ne seront pas en reste à travers la participation de Don Bigg, Oum, Nabila Maan, Hoba Hoba Spirit, Maghreb United, Dirty Facet, Chemical Bliss et Setta Fusion, poursuit le communiqué qui révèle que la "clô ture de la manifestation sera marquée par un concert de 12 heures, dédié aux talents de la nouvelle scène marocaine qui s'expriment dans les musiques urbaines."

D'autres grands noms de la chanson marocaine feront leur apparition durant cette 9ème édition tels que Mouss Maher, Zoubeida Idrissi, Siboni, Samira Kadiri, Karim Kadiri, Amir Ali, Massnaoua, Bnat El Ghiwan, Siham, Ali Alaoui, Itran, New Wave, Groupe Sallam et le groupe Sahra Generation, ajoute-t-on de même source.

"La programmation porte ainsi le sceau de la rigueur, de l'originalité et de la créativité: chanson moderne, classique, Chaâbi, musique amazighe, groupes musicaux connus et émergents, vibrations gnawas, Rap, Hip hop le tout proposé dans un bouquet éclatant de couleurs et d'harmonies", souligne le communiqué.

Le célèbre auteur, chanteur et pianiste anglais, Sir Elton John, le King of Blues BB King et la légende vivante Julio Iglesias, sont parmi les stars internationales à l'affiche.

L'Association Maroc-Cultures, créée en 2001, se fixe comme objectifs de contribuer à la promotion des musiques marocaines tout en garantissant au public des prestations artistiques à la fois riches et diversifiées.

MAPF
Source ; agadirinou.com

samedi 3 avril 2010

Le Maroc, un pays qui avance rapidement sur la voie du développement (journal italien)



Rome, 02/04/10 - Le Maroc est un pays qui avance rapidement sur la voie du développement "bien loin de l'économie de subsistance d'un passé récent", écrit le quotidien italien "Terra News".

"Partout, des projets de requalification urbaine, des infrastructures et des des centres commerciaux sont réalisés", observe ce journal écologiste dans un article de son envoyé spécial, Bruno Picozzi.

Le développement est le "mot d'ordre" au Maroc, relève la publication en mettant en relief l'évolution remarquable enregistrée depuis l'accession au trône de SM le Roi Mohammed VI et qui s'est traduite, outre la réalisation d'infrastructures, par l'augmentation des revenus individuels et l'amélioration de la condition de la femme.

Le quotidien évoque, dans ce même cadre, la croissance de la production, la dynamisation du marché et la hausse du produit intérieur brut (PIB).

Le Maroc "s'est engagé sans retour vers un futur, bien loin de l'économie de subsistance d'un passé récent", souligne Picozzi dans cet article publié sur le site Internet du journal.

"Avec un taux de croissance économique en 2009 tournant autour de 6 pc, le Maroc avance rapidement sur le chemin du progrès", affirme -t-il.

Il va de soi que tout œuvre de développement doit faire l'objet d'une planification adéquate et être intégrée, souligne en substance Picozzi qui s'est rendu dans les régions d'Agadir et de Dakhla dont il a relevé la beauté et l'essor urbanistique.

Une telle planification est dictée par le fait que le développement constitue un "phénomène complexe et multidirectionnel", estime-t-il.

Source : MAP

samedi 27 mars 2010

Le Festival de Tétouan dévoile son programme


41 films méditerranéens seront en lice pour le Grand prix de la ville de Tétouan du court et long métrages et le documentaire de la 16 édition du festival du cinéma méditerranéen qu'accueille la ville du 27 mars au 03 avril prochain.

12 long métrages dont deux marocains concourent pour le grand prix de cette catégorie. Il s'agit de "Les Oubliés de l'Histoire" de Hassan Benjelloun et "Dès l'Aube" de Jilali Ferhati. Un choix effectué, selon les organisateurs, en concertation avec les critiques de cinéma et les journalistes marocains. Sauf que le choix de ces derniers a porté sur deux autres films que les organisateurs n'ont pu retenir. Le premier, "Pégase" de Mohamed Mouftakir dont le producteur aspire conserver pour le prochain festival de Cannes alors que le second, "The Man Who Sold The World" de Swel & Imad Noury, que les organisateurs déclarent simplement n'ont pu avoir l'accord de sa productrice. Une situation délicate qui affaiblit certes la participation marocaine dans cette section.

En compétition également, "Dowaha" (Les secrets) de la tunisienne Raja Amari, une sélection à la dernière biennale de Venise et lauréat de plusieurs prix internationaux, "La mujer sin piano" (La Femme sans Piano) de l'espagnol Javier Robillo, vu au dernier festival de Marrakech et "Couleurs naturelles" qui marque le retour de l'égyptien Oussama Faouzi, auteur notamment de "J'Aime le Cinéma" qui avait participé dans une édition précédente du festival de Tétouan.

On retiendra toutefois l'absence du cinéma de l'est du rive méditerranéen (Bosnie, Croatie, Serbie...), l'un des plus créatifs et des plus innovants dans la carte mondiale. Une absence que M. Ahmed Housni, le directeur du Festival, explique par des difficultés techniques relatifs à l'incapacité du festival de fournir un sous-titrage électronique devenu désormais une norme des plus grands festivals dans le monde. Alors que l'absence du cinéma grecque de cette section, toujours selon M. Housni, est due à la nature des sujets traités par les films reçus par le festival (homosexualité...) peu appropriés à un public local et qui risquent ne pas avoir de visa de projection.

Côté court, en plus de "L'âme perdue" de Jihane El Bahhar et "Poupiya" de Samia Charkioui retenus par les critiques pour représenter le cinéma marocain dans cette section, les organisateurs ont jugés bon d'inclure les films en hors compétition, "Sin palabras" d'Othman Naciri et "A ton chevet" d'Abdeslam Kelai. 17 oeuvres seront ainsi en lice pour le grand prix du court métrage. Les quatre films marocains seront en lice à coté de films venant d'autres pays du pourtour méditerranéen notamment l'Espagne, la Tunisie, l'Italie, la Palestine, la Turquie, le Liban, la Grèce et le Portugal.

Pour le documentaire, le festival a retenu 12 œuvres pour concourir en compétition avec la volonté de réhabiliter ce genre en déplaçant les projections vers la salle officielle (Avenida) au lieu de la petite salle de l'institut français qui marginalisait cette section compétitive. Signalons toutefois qu'aucun film marocain ne figure dans cette section. Une absence que les organisateurs expliquent par le non envoi des réalisateurs marocains de leurs films ou de le faire après les délais.

Deux jurys, l’un pour la fiction et l’autre pour le documentaire, départageront les oeuvres en compétition. Le premier est présidé par le français Pierre Henri Deleau, Délégué général du Fipa. Il sera entouré de l'acteur et musicien Younes Megri, du réalisateur Ahmed Bouchaala (Franco-algérien) aux cô tés de la réalisatrice Narjess Nejjar et de la présidente du Festival MedRome, Ginella Vocca (Italie).

Celui du documentaire est présidé par le marocain Mohamed Mrabet Khaireddine Gounajjar, entouré de Saad Hendawi, réalisateur (Egypte), Carla Subirana, scénariste et réalisatrice (Espagne), Georgis Lazarevski, réalisateur, (Belgique) et Mohamed Benaboud, Universitaire-chercheur (Maroc).

Le programme de cette édition prévoit, en outre, une rétrospective de 10 ans de cinéma maro.cain avec projection de 14 films sélectionnés pour refléter la diversité de la production nationale dans cette période.

Retenons également la projection en ouverture du film "Les Gas du Bled" qui met en avant de la scène plusieurs acteurs originaires de Tétouan et dont les événement se passent dans la région de la ville sous la direction d'un gars du bled,e Mohamed Smail.

Source : maghrebarts.ma

samedi 13 mars 2010

Le 1er festival international des arts magiques à Essaouira



La ville d'Essaouira abritera du 19 au 21 mars le 1er festival international des arts magiques avec la participation attendue d'illusionnistes marocains et étrangers.

Initié par les associations française "Magicus" et marocaine "Annassim" avec le soutien de la province et du conseil municipal, le festival est une idée soufflée par quatre artistes : trois Marocains Nourredine Bellaoui, Mustafa Bounar et Youssef Chouiter, et le Français Didier Puech.

"L'initiative est peu prématuré, mais trouvera ses marques, peu à peu, pourvu que les alizés poussent vers lui les bonnes volontés, les sponsors et tous les soutiens qui permettront de développer cette rencontre annuelle au fil des ans", soulignent les organisateurs.

Face à l'absence d'un festival qui donne une vraie place aux illusionnistes marocains, les organisateurs soulignent avoir, au départ, eu l'idée d'organiser simplement un concours de scène pour donner la parole à la nouvelle génération de magiciens débordant d'idées et manquant cruellement de lieu pour être reconnue par ses pairs et par le public.

Autour de ce concours de scène, s'est construite l'ossature d'un véritable festival digne de ce nom : gala, magie de rue, conférences, expositions, foire magique.

Le festival s'est également donné pour objectif de canaliser toutes ces énergies en proposant des conseils techniques et artistiques, à travers des conférences et débats sur "magie et peinture", "magie et cinéma", "le rire est-il universel ?"

Le Festival a été pensé et voulu comme une rencontre artistique conviviale et et d'échange d'idées et d'expériences, pour mieux faire connaître l'art magique au grand public.

Plusieurs magiciens vont veiller à ce qu'il fasse ses premiers pas, tout naturellement, et grandisse entouré de toute l'attention de la grande famille de l'art magique réunie à Essaouira.

Le festival sera rehaussé par la participation du célèbre magicien français Bernard Bilis qui donnera une conférence au profit des magiciens.

Au programme figure un concours des meilleures routines, des conférences et des expositions sur "l'illusionnisme".

Source : emarrakech.info

samedi 6 mars 2010

Plages d’El Jadida, UN DECOR pour MILLE ANS



Que les amoureux de la nature se réjouissent ! Que les adeptes de la protection de l’environnement ne désespèrent pas ! Ce décor, qui émaille les côtes doukkalies, ici ou là, depuis quelques semaines, risque de durer mille ans ! Le temps qu’il faut pour ces petits ronds rouges, ces petits rond jaunes, ces petits ronds bleus, ou verts, et pour ces petits bâtonnets verts, ces petits bâtonnets blancs, ou rouges ou jaunes ou bleus soient détruits par les siècles.

On dirait un décor d’un peintre surréaliste qui aurait jonglé avec ses pinceaux et ses couleurs pour barioler les plages, en quête d’un nouveau moyen d’expression artistique. A moins que, mis bout à bout, ces petits ronds en forme de 0, et ces petits bâtonnets en forme de 1, révèlent le code secret de quelques logiciels informatiques, pimentés par quelques seringues ! Allez savoir ?

Et n’allez pas croire que des colonies d’enfants mal élevés se soient répandues sur ces rivages à la faveur de vacances….Cela n’est pas possible ! Il aurait fallu des millions d’enfants pour absorber autant de sucettes et boire autant sodas et autres eaux minérales…Non, cela n’est pas possible !

A moins que cela soit la mer qui, pour prouver que, parce qu’elle n’est plus poissonneuse comme avant, nous ait gratifiés de ses autres richesses sous-marines, son nouveau patrimoine, qui ferait rêver bien des usines de retraitement de déchets !

A moins que la mer, très agitée ces derniers temps, nous ait renvoyé à la figure l’image de notre société de consommation, celle du tout-jetable ?

On me dira que ce sont peut-être des cargos, passant au loin, venus de plus loin, qui ont largué dans nos parages leurs cargaisons d’ordures non-recyclables ?...Mais pourtant ce sont des capsules de boissons bien connues ici ! Ciel ! Qu’on me pardonne de ne pas citer de nom, on m’accuserait de faire de la publicité clandestine pour des boissons qu’on peut trouver dans n’importe quelle petite échoppe !

Une question me turlupine cependant. On a dit : année 2010, 10 millions de touristes….Si l’on distribue à chacun d’eux un bâtonnet et une capsule, que fera-t-on des capsules et des bâtonnets restants ?

Et puis, vous vous imaginez le désastre s’il prenait l’envie à un service municipal, ou à une société de nettoiement, de passer la plage à la cribleuse?…Que restera-t-il aux vacanciers qui viendront passer l’été ici pour apprécier la beauté bariolée de nos côtes, puisque les résidents, après-tout, peuvent s’y faire…Qu’importe !

Vous vous imaginez si l’on demandait aux sociétés qui évacuent ces déchets vers l’océan de payer au cas où l’on considèrerait cela comme de la pollution…Car, m’a-t-on dit, il faut bien faire payer les pollueurs ! Que de travail en plus pour trier, traiter, et détruire d’une autre façon ! Est-ce pensable ?

Non ! Qu’on me laisse avec mes petits bâtonnets blancs, verts, ou rouges, et avec mes petits ronds rouges, verts, ou blancs. Ou mes petits ronds et petits bâtonnets jaunes et bleus ! Si on les enlevait, alors la plage redeviendrait de sable blond, cette blondeur couleur de soleil qui fait rêver tous ceux qui ont eu des hivers gris, neigeux, calamiteux ! De cette blondeur d’avant ? Non, c’est un rêve. Ce n’est qu’un rêve !

PS : Qui m’a dit qu’il fallait apporter sa contribution à la charte pour l’environnement ?

Auteur : Michel Amengual
Source : Eljadida.com

jeudi 18 février 2010

A/ Site archéologique de VOLUBILIS dans la banlieue de Meknès :


Le site de Volubilis compte parmi les sites marocains les mieux conservés et les plus visités. Il résume une grande partie de l’histoire du Maroc depuis l’époque maurétanienne (IIIème s. av. J.-C.) jusqu’au Haut moyen-âge. Le premier noyau de la ville date du IIIème s. av. J.-C. Après l’annexion du Royaume de Maurétanie à l’empire romain en 42 ap. J.-C. suite à l’assassinat du roi Ptolémée par l’empereur Caligula, Volubilis est élevée au rang de municipe et connaît une extension urbaine importante à partir de la deuxième moitié du Ier siècle ap. J.C. Sous l’Empéreur Marc Aurèle ( 168-169 ap. J.C.) est construite une enceinte urbaine qui enserre une superficie de quarante hectares. Sous les sévères (fin II ème début IIIème s.), le quartier monumental (capitole, basilique et forum) est réaménagé et l’arc de triomphe est érigé pour rendre hommage à l’empereur pour avoir accordé la citoyenneté romaine aux habitants libres de la ville et d’avoir remis les arriérés d’impôts à tous les volubilitains.

En 285 ap. J.-C., l’administration et l’armée romaines évacuent la ville. Les volubilitains se replient vers l’ouest et construisent une nouvelle enceinte séparant la ville antique de la ville nouvellement construite. A la fin du VIIIème siècle, Idris Ier se réfugie à Walila (l’antique Volubilis) où la tribu des Aouraba l’accueille et le proclame chef des croyants (imam). La cité devient le point de départ de l’islamisation. Elle fut abandonnée après la fondation de la ville de Fès en 789 ap. J. C.
Plusieurs quartiers ont été dégagés par les fouilles anciennes et récentes.
Source : http://omari.ahmed.free.fr/

samedi 6 février 2010

Maroc, meilleure Destination de Golf de l'année 2010

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Le Maroc a été annoncé meilleure destination prestigieuse de golf en gagnant le prix de l'année 2010 pour l'Afrique, les États de golf et l'océan Indien par l'Association Internationale de Golf des Tours Opérateurs (IAGTO).

Ce prix convoité par de nombreuses destinations du golf est en fait, le résultat de l'implication à la fois de L'Office National Marocain du Tourisme et des tours opérateurs, sans oublier de mentionner la satisfaction des clients de l'excellent parcours et le bon rapport qualité-prix.

Le golf marocain a été choisi deux fois cette année, en remportant le prix IAGTO et en ayant intégré le Trophée Hassan II dans le Tour Européen.

D'après fantasticmorocco.com

samedi 23 janvier 2010

Maroc- Le jardin des Oudaïas de la Ville de Rabat.



Le jardin des Oudaïas est un des exemples de riad ou jardin clos qu'on rencontre souvent au Maroc. Toujours clos de hauts murs (ici, aux Oudaïas, une muraille crénelée, flanquée de tourelles, qui entoure le jardin et le sépare du monde extérieur), le riad, dont la composition s'inscrit dans un rectangle plus ou moins régulier est souvent doté, lorsqu'il ne fait pas partie intégrante d'une demeure de bâtiments qui se font face à deux de ses extrémités. Ces salles largement ouvertes avec galeries ou ces pavillons on avant-corps sont alors reliés par plusieurs allées rectilignes dallées, plus ou moins larges, se coupant à angle droit, des vasques ou des jets d'eau marquant leurs points de rencontre. Il constitue cependant le plus souvent le coeur de riches demeures ou de palais autour duquel ces derniers s'articulent, se dotant de loggias, de balustrades en fer forgé ou de fines galeries de bois, et d'un kiosque au dôme souvent peint d'arabesques. Il offre au regard une profusion de fleurs et d'arbustes - bananiers, citronniers, daturas, lauriers-roses, orangers-distribués sans plan apparent dans des carrés qu'arrosent des séguias, et mêlant parfois leurs branches aux masses sombres de cyprès qui encadrent une fontaine centrale. Mais le charme particulier de ce type de jardin - que l'on retrouve notamment à Fès, au palais de Dar Batha, à Meknès au palais Jamaï, ou à Marrakech, où il agrémente les belles demeures de Dar Si Saïd et du palais de la Bahia - c'est qu'il participe à l'ordonnance architecturale de l'édifice pour lequel il a été conçu, et procure au visiteur une forte impression de paix et de fraîcheur.
Source: travel-in-morocco.com

lundi 11 janvier 2010

Ithmar Development investit dans le tourisme de santé à Essaouira

Un terrain de 270 ha est prévu pour la construction d’un complexe pour le bien-être et la santé.
La lettre d’intention est signée et le mémorandum relatif au projet est en préparation.
Si le projet aboutit dans un délai raisonnable, ce sera un bon coup pour le tourisme. L’investissement de 1,8 milliard de DH, dont la lettre d’intention a été signée, en marge du Forum économique mondial de Davos, entre le Maroc et Ithmar Development, chef de file d’un groupement qui comprend aussi Abou Dhabi investment et Golfe Finance house, est intéressant à plus d’un titre.
C’est le premier projet de ce groupe au Maroc et, qui plus est, dans le domaine du tourisme de la santé, un créneau qui connaît depuis quelques années un certain succès. Quelques cliniques spécialisées dans la chirurgie esthétique proposent déjà des séjours qui allient l’utile à l’agréable pour une clientèle ciblée et un groupe français. Cette fois-ci, il s’agit de construire à Essaouira un grand complexe touristique dédié à la santé, avec différentes spécialités comme la nutrition et le traitement du diabète.
Auprès du ministère du tourisme et de l’artisanat, on indique qu’un mémorandum relatif à ce projet est en préparation et sera finalisé dans les mois prochains. Ensuite, on entrera dans la phase des études techniques qui devraient prendre au minimum six mois. Mais la mise en œuvre devrait être très rapide, sachant que le projet a déjà recueilli les accords de principe de la commission régionale des investissements pour ce qui est du terrain de 270 ha sur lequel sera bâti le complexe, précise-t-on auprès de la direction des investissements et des aménagements.
Des projets similaires en Tunisie et en Malaisie
Il faut savoir qu’un projet du genre n’est pas un investissement isolé pour Ithmar Development ; il est la continuation de l’activité de ce groupe leader dans le secteur pharmaceutique à Bahreïn. Ainsi près de la capitale Manama, son «pôle sanitaire Dilumnia», un complexe d’une superficie de 165 000 m2, abrite, entre autres, un centre de santé pour la mère et l’enfant, un centre de diagnostic, un centre de chirurgie esthétique, un centre de recherche médicale et un centre sportif.
Le groupe vient, en outre, d’annoncer la réalisation, en Tunisie et en Malaisie, de deux grands projets similaires à celui qui est prévu à Essaouira.
Pour rappel, Ithmar Development compagnie est adossée à la banque bahreïnie Ithmar Bank qui est présente à hauteur de 20 %, aux côtés de Régional Air Lines et d’autres investisseurs des pays du Golfe, dans le tour de table de la compagnie Air Arabia qui devrait normalement commencer son activité dès le premier trimestre courant.
par M.M
Source: lavieeco.com

samedi 2 janvier 2010

Les merveilles de Casablanca au Maroc


Aussi connue comme Casa ou Dar el Baida, Casablanca est essentiellement la capitale du Maroc . Tout citoyen européen ou le voyageur se sentira immédiatement à l'aise ici et auront une compréhension presque instinctive de la vie ici. Il ya beaucoup d'hôtels dans et autour de Casablanca. Quelle que soit la taille de votre budget, vous pouvez trouver un endroit superbe pour savourer un repas dans cette ville animée.
Divertissez vos fantasmes les plus fous de vacances à Casablanca!

Casablanca a été créé en tant que ville en 1906 avec une population de 20 000. Plus tard en 1907, lorsque les Français sont arrivés ici, Fès était le centre commercial tandis que Tanger a été créé en tant que principal port de la ville. Les Français ont été rapidement évincé cependant et ont dû chercher un nouveau port de Tanger est restée tout à fait et marocaine. Les choses ont beaucoup changé depuis lors, cependant. Avec une population de plus de 3 millions d'euros, Casablanca ressemble à une ville d'Europe du Sud. Aujourd'hui, toutes les fonctions sont traitées ici, sauf pour l'administration.

Transports

Petits taxis sont partout et vous ne devriez pas avoir de la difficulté à attraper un. Les services d'autobus sont très efficaces aussi. Si vous louer une voiture à Casa, rappelez-vous que le trafic peut souvent être un cauchemar, et il ne faut pas beaucoup pour atteindre les embouteillages.

Hébergement

Il ya beaucoup d'hôtels dans et autour de Casa. Le problème est qu'ils sont presque toujours pleins, les réservations de dernières minutes, donc sont hors de question. Aller aux hôtels, hôtels de luxe, chalets de vacances, villas, appartements et studios pour l'hébergement .

Plages

Les visiteurs peuvent prendre un bus à Ain Diab, un petit faubourg Certes, il pourrait ne pas être le plus propre des plages, mais elle attire toujours une foule énorme sur une base quotidienne. Il faut aussi dire que les foules sont majoritairement issus ici à cause des différents clubs de plage. Ces clubs ont chacun des piscines d'eau salée, les restaurants et cafés. Regardez autour de vous un peu et si votre portefeuille peuvent le manipuler, vous trouverez un club de plage avec plus chers courts de tennis et de volley-ball et même une discothèque.

Restaurants

Quelle que soit la taille de votre budget, vous pouvez trouver un endroit superbe pour apprécier un repas à la Casa. Généralement accepté comme le meilleur endroit pour manger quand au Maroc, Casablanca possède une grande variété de fruits de mer traditionnels, et plats à emporter restaurants. Essayez de faire un tour par «Stella». Ce salon de glace aura 30 différentes saveurs en tout temps disponible pour vos tests .

Discothèques

Malheureusement offres discothèque Casa sont un peu maigre. La plupart des «tour des clubs avéré être joints cabaret et femme seule sont rapidement la cible d'hommes mariné à l'affût. Pour un verre au calme dans un bar, le mieux est probablement la barre de votre hôtel. Il ya un peu de semi-discos décent dans Casa et mis en route autour de 11pm et restent ouverts jusqu'à 3h du matin.

Les choses à voir et faire

Rialto Cinema Cinema Rialto
Ce magnifique palais du cinéma Art Déco a été construit en 1930. Allez voir un film et d'apprécier l'architecture aussi.
Cathédrale du Sacré coeur: Cette cathédrale a un design rafraîchissant que de nombreuses caractéristiques des styles traditionnels marocains. Dans le passé il a été utilisé comme école, puis un centre de culture. Maintenant, toutefois, alors que l'extérieur est titulaire d'un visuel attrayant, l'intérieur a succombé à l'entropie.

Villa des Arts Villa des Arts
Cette exposition Art Deco maisons centre de nombreuses belles pièces d'art contemporain.

Transport
CTM et autobus circulant en permanence dans et autour de la ville. Les Grands taxis sont rapides et souvent assez facile à attraper.Votre meilleur pari pour un train à la gare Casa Port ou de la gare Casa Voyageurs.

Source : morocco.com/grand-casablanca